Le rap de masse depuis au moins 15 ans, c’est le récit fantasmé et la promotion de la grande délinquance (braquages, meurtres etc.), de la consommation d’alcool, de drogues, de la luxure et de la fornication, du matérialisme le plus putride via le culte de l’appât du gain,

et on pourrait continuer dans l’énumération. Toute notre jeunesse est baignée dans l’écoute quotidienne de cette anti-culture qui détériore moralement et intellectuellement l’auditeur, biaisant complètement son rapport au monde, et particulièrement à cause de 2 choses :

Premièrement, toutes les pratiques qui y sont normalisées et promues sont objectivement destructrices pour les individus, sans évoquer la dimension religieuse, à laquelle prétendent appartenir la majorité de ces rappeurs, dans laquelle tous ces actes sont des péchés majeurs.

Ainsi, en consentant à l’écoute de l’expression et la promotion continuelles de ces pratiques dévoyées et mortifères, on biaise notre jugement moral en finissant par relativiser ne serait-ce qu’un peu ces réalités corrompues, délictueuses et criminelles.

Deuxièmement, la chose la plus grave est que l’on est arrivé à un tel point d’aliénation que l’on écoute et propage l’expression de toutes ces immondices comme si l’on avait jamais eu aucun code moral, pire encore, on chante avec eux leur corruption.

Cette aliénation vient du fait qu’à force de se morfondre dans la consommation chronique de ce type de divertissement, on atteint un stade de virtualité presque existentielle, c-à-d qu’on a même plus la considération réelle de ce qu’on lit, de ce qu’on écoute et de ce qu’on dit

Et je sais que ça peut paraître exagéré, mais on peut prendre la majorité des textes de rap promus aujourd’hui, les lire serait un véritable affront pour toute personne normalement constituée, le fond du propos est une déchetterie toute entière, pourtant massivement consommée

Il faut donc sortir de cette léthargie cérébrale, en finir avec l’acceptation et la promotion de ces immondices, et surtout sortir de cette virtualité ambiante où l’on chante des choses que l’on ne pourrait jamais revendiquer pour nos propres personnes

On a même pas parlé de la médiocrité intellectuelle et littéraire que dégage l’écriture des rappeurs, dont nombre d’entre eux n’arrivent pas à s’exprimer correctement à l’oral en interview. Enfin, il faudrait épuiser encore longtemps le clavier pour définir le drame du le rap

Pour plus de détail (bien que même si assez juste, il n’est pas assez sévère) :

Sujets connexes : La léthargie religieuse qu’entretiennent ces rappeurs avec l’acceptation presque fatale du péché comme train de vie, en feignant d’espérer un jour arrêter L’alimentation des fantasmes xénophobes que subissent ensuite gratuitement des familles innocentes Etc.